'deconstruction-depollution'-Pukarua
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A la suite du rapport de la Commission d’enquête de l’Assemblée de Polynésie, le ministère de la Défense a décidé de « déconstruire » les anciennes installations du CEP abandonnées depuis plus de 20 ans à Pukarua et à Reao.
En juin 2007, Un détachement d’une quarantaine de militaires du génie a commencé les travaux de deconstructions des anciennes installations meteo du Cep à Pukarua et ensuite à Reao. les gravats concassés issus des démolitions ont été réutilisés pour des besoins communaux, pour l’empierrement de routes et la construction d’un mur anti-houle à Pukarua. les déchets métalliques extraits des démolitions ont été immergés. Le retour d’un gouvernement Temaru et la réinstallation du Conseil d’orientation pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (Coscen). Saisi de cette « anomalie » juridique par laquelle le droit de la mer ne s’appliquait pas en Polynésie concernant les rejets en mer. Un arrêté fut pris interdisant le « rejet par le fond » des ferrailles. Les autorités militaires chargées de la conduite des travaux de réhabilitation dans les îles en ont pris bonne note et, pour les chantiers suivants, aucun rejet en mer ne sera effectué.
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A la suite du rapport de la Commission d’enquête de l’Assemblée de Polynésie, le ministère de la Défense a décidé de « déconstruire » les anciennes installations du CEP abandonnées depuis plus de 20 ans à Pukarua et à Reao.
En juin 2007, Un détachement d’une quarantaine de militaires du génie a commencé les travaux de deconstructions des anciennes installations meteo du Cep à Pukarua et ensuite à Reao. les gravats concassés issus des démolitions ont été réutilisés pour des besoins communaux, pour l’empierrement de routes et la construction d’un mur anti-houle à Pukarua. les déchets métalliques extraits des démolitions ont été immergés. Le retour d’un gouvernement Temaru et la réinstallation du Conseil d’orientation pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (Coscen). Saisi de cette « anomalie » juridique par laquelle le droit de la mer ne s’appliquait pas en Polynésie concernant les rejets en mer. Un arrêté fut pris interdisant le « rejet par le fond » des ferrailles. Les autorités militaires chargées de la conduite des travaux de réhabilitation dans les îles en ont pris bonne note et, pour les chantiers suivants, aucun rejet en mer ne sera effectué.
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