Farandula-Rapa nui
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La farandula a lieu à la fin de la Tapati, la grande fête culturelle qui se déroule tous les mois de février à Rapa nui, la mythique île de Pâques. Evénement inclassable, unique : mi parade, mi carnaval, mi concert, mi scène de danse à ciel ouvert, très alcoolisée et toujours festive. Crée par les Rapa nui pour les Rapa nui, mais où tout le monde est invité à se peindre le corps et à participer. Célébration cosmopolite sans le vouloir, on y parle quasiment toutes les langues. Une seule règle pour participer : il vous faudra vous plonger quasiment nu dans de vieilles baignoires remplies d'argiles colorées, ocres ou marrons. Tous ces corps d'hommes, de femmes ou d'enfants seront ensuite peints de signes inspirés, cabalistiques et mystérieux issu de la mythologie Rapa nui ou de l'écriture rongo-rongo, dont le sens s'est depuis longtemps perdu. La farandula s’ébranle à 17h précise. Au centre du dispositif , de lourdes pirogues sculptées chargées sur des semi- remorques qui auront nécessité plusieurs mois de travail, un rappel fort aux origines : une manière de commémorer Hotu Matu’a, 'Ariki nui'-grand roi- venu sans doute des îles marquises. Il aurait envoyé sept vaka - de grandes pirogues - pour trouver de nouvelles terres inhabitées. L’une d’elles ayant trouvé l’île de Pâques, Hotu Matu’a embarqua avec son peuple pour s’installer sur cette nouvelle terre. L'armada grouillante de plus d'un millier de personnes mettra plus de 4 heures à parcourir les deux kilomètres qui la sépare d'Hanga vare vare. Un cocktail détonnant de chants et de danses aux sons des guitares, de l’accordéon, de lourds tambours, d’épileptique martellements secs sur des cranes de chevaux, soutenus par de puissantes sono et qui se poursuivront, aux flambeaux, une bonne partie de la nuit.
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La farandula a lieu à la fin de la Tapati, la grande fête culturelle qui se déroule tous les mois de février à Rapa nui, la mythique île de Pâques. Evénement inclassable, unique : mi parade, mi carnaval, mi concert, mi scène de danse à ciel ouvert, très alcoolisée et toujours festive. Crée par les Rapa nui pour les Rapa nui, mais où tout le monde est invité à se peindre le corps et à participer. Célébration cosmopolite sans le vouloir, on y parle quasiment toutes les langues. Une seule règle pour participer : il vous faudra vous plonger quasiment nu dans de vieilles baignoires remplies d'argiles colorées, ocres ou marrons. Tous ces corps d'hommes, de femmes ou d'enfants seront ensuite peints de signes inspirés, cabalistiques et mystérieux issu de la mythologie Rapa nui ou de l'écriture rongo-rongo, dont le sens s'est depuis longtemps perdu. La farandula s’ébranle à 17h précise. Au centre du dispositif , de lourdes pirogues sculptées chargées sur des semi- remorques qui auront nécessité plusieurs mois de travail, un rappel fort aux origines : une manière de commémorer Hotu Matu’a, 'Ariki nui'-grand roi- venu sans doute des îles marquises. Il aurait envoyé sept vaka - de grandes pirogues - pour trouver de nouvelles terres inhabitées. L’une d’elles ayant trouvé l’île de Pâques, Hotu Matu’a embarqua avec son peuple pour s’installer sur cette nouvelle terre. L'armada grouillante de plus d'un millier de personnes mettra plus de 4 heures à parcourir les deux kilomètres qui la sépare d'Hanga vare vare. Un cocktail détonnant de chants et de danses aux sons des guitares, de l’accordéon, de lourds tambours, d’épileptique martellements secs sur des cranes de chevaux, soutenus par de puissantes sono et qui se poursuivront, aux flambeaux, une bonne partie de la nuit.
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